Figure emblématique du journalisme français, Claire Chazal a souvent fait vibrer la corde sensible du public avec ses histoires d’amour dignes d’un feuilleton. Mais aujourd’hui, à 67 ans, elle semble avoir tourné la page de la quête effrénée de la passion pour embrasser une vie de célibat épanouie. Lors d’une interview intime avec Bernard Montiel, elle a ouvert son coeur et partagé sa vision de l’amour, de la passion et de la solitude.
Claire Chazal : « J’ai toujours été passionnée »
Connue pour son parcours sentimental aussi riche que médiatisé, Claire Chazal n’a jamais caché son tempérament de femme passionnée. « Je pense que dans le domaine sentimental, j’ai toujours été passionnée, assez entière. Un peu dans une forme de quête d’absolu. Alors donc, un peu voué à l’échec et désespéré, » a-t-elle confié à Bernard Montiel. Ces mots résonnent avec une authenticité qui caractérise la journaliste, révélant une quête d’absolu souvent synonyme de désillusions.
Claire Chazal apprécie son célibat
Malgré les épreuves et les passions éphémères, Claire Chazal a trouvé une forme de paix dans la solitude. « Il ne faut pas être totalement pessimiste, ça existe, c’est la passion. Elle fait battre le cœur et c’est ce qu’il y a de plus merveilleux, naturellement, » a-t-elle expliqué, soulignant que le bonheur peut se trouver dans des instants fugaces et qu’il est essentiel de savoir les apprécier. « Le bonheur dans l’absolu ne peut pas se définir. Et ça, il faut avoir la force d’ailleurs de s’arrêter sur ces moments et se dire : ‘Là, c’est bien. Là, c’est complet, c’est plein, c’est rond’. »
Interrogée sur la vie à deux versus la solitude, Claire Chazal a exprimé une vision mûre et réfléchie de la vie en solo. « Je crois qu’on peut assumer de choisir sa vie seule. Je crois que parfois on a conquis une forme de liberté et c’est précieux aussi, » a-t-elle affirmé, valorisant l’amitié comme une source de stabilité et de douceur. « L’amitié c’est précieux. Là, il y a une stabilité, il y a une fidélité, c’est beaucoup plus doux. Je ne dis pas que c’est idéal, mais je pense que l’on peut le revendiquer. »
crédit photo : capture d’écran : France 2