
La star de télé-réalité, Maeva Ghennam, est venue sur le plateau de Cyril Hanouna pour raconter l’incendie dont a été victime son domicile et de s’insurger : « En France, tu n’as pas le droit d’avoir de l’argent ».
C’est « sa vie de se montrer »
C’est à une passe d’armes comme seul Cyril Hanouna sait l’orchestrer qu’a eu droit le public de Touche Pas à Mon Poste sur C8. Invitée sur le plateau à parler de l’incendie dont elle a été victime à son domicile marseillais, Maeva Ghennam s’est insurgée contre l’insécurité en France : « J’aime la France, j’aime revenir en France, mais je ne me sens pas en sécurité et la preuve, regardez tout ce qu’il m’arrive ». Et de détailler que l’influenceuse avait été victime de plusieurs agressions à Marseille : une tentative de cambriolage, un braquage et aujourd’hui l’incendie de sa propre maison.
Maeva Ghennam s’est fait connaître à 20 ans dans l’émission de télé-réalité Les Marseillais en Australie, elle a enchaîné les tournages ensuite, notamment Les Cinquante, diffusé sur W9.
Le chroniqueur Guillaume Genton l’interpelle ensuite sur le plateau : « Qu’est-ce que vous répondez à ceux qui disent que vous montrez trop votre vie privée, que votre opulence peut être prise par certains comme de la provocation ? ». Ce à quoi Maeva Ghennam a répondu que c’est « sa vie de se montrer ». Elle reconnaît « ne pas avoir de talent » au contraire d’un chanteur qui « lui est suivi par des millions de personnes parce qu’il a un talent ».
Et de monter au créneau : « Donc c’est normal de se faire incendier, de se faire braquer ? Donc en fait, quand tu habites en France, comme il n’y a pas de sécurité, tu n’as pas le droit d’avoir de l’argent et tu n’as pas le droit de montrer que tu as réussi dans ta vie ? », questionne Maeva Ghennam.
« A Dubaï, je dors la fenêtre ouverte »
Et l’influenceuse d’évoquer son exil : « A Dubaï la porte de chez moi, je ne l’ai jamais fermée à clé, je dors la fenêtre ouverte ». Contrairement à la France, où elle « reste enfermée » chez elle, par peur de sortir sans agent de sécurité. Ne va-t-elle pas à Dubaï pour des raisons fiscales, ont demandé des chroniqueurs ? « Moi, je paie toujours mes impôts en France », a-t-elle rassuré.