Le monde du petit écran est bien souvent témoin de rivalités et de controverses qui alimentent les conversations des passionnés de télévision. Parmi les figures centrales de ces débats animés, Cyril Hanouna se distingue régulièrement par son franc-parler et ses prises de position tranchées. Il ne faillit pas à sa réputation dans sa récente riposte face au célèbre programme « Complément d’enquête », diffusé sur France 2. Ce bras de fer médiatique s’est intensifié lorsqu’il a été question de la probable non-diffusion de son documentaire « Enquête de complément » sur C8.
Enquête complémentaire : Cyril Hanouna monte au créneau
La tension était palpable lors de la présentation par Cyril Hanouna d’extraits de son documentaire « Enquête complémentaire « , produit en réponse à un numéro de « Complément d’enquête » le concernant. D’après les informations révélées, l’œuvre de Jacques Cardoze ne trouverait pas grâce aux yeux de la direction de C8, qui la juge « trop violente ». Cyril Hanouna « Quand je mets mon nez quelque part, généralement, je fais tout péter. » En toile de fond : une préoccupation de ne point envenimer les relations déjà complexes entre la chaîne et France Télévisions.
Des révélations choc portées à l’écran
La diffusion de certains extraits a dévoilé une série d’accusations lourdes de conséquences à l’encontre de France Télévisions. Parmi les assertions les plus marquantes, la remise en question de la nomination de Delphine Ernotte à la direction générale par le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA), malgré les promesses de François Hollande de ne pas s’immiscer dans la décision. L’extrait en question laisse sous-entendre que des pressions auraient été exercées pour influencer ce choix de gouvernance.
Le Parisien aussi dans le viseur
En sus de critiquer le groupe public audiovisuel, le documentaire sème également le doute sur les relations entre France Télévisions et Le Parisien. Jacques Cardoze évoque un problème éthique, déclarant que des journalistes du quotidien seraient impliqués dans la vente d’informations au groupe audiovisuel. Un pourcentage des bénéfices, évalué à 3%, serait alors perçu sur les sujets vendus à des émissions telles qu' »Envoyé spécial » ou « Complément d’enquête ». Ces révélations ajoutent une nouvelle couche de complexité à un panorama déjà bien agité.
crédit photo : capture d’écran TPMP
De toutes les façons les enquêtes menées sont toujours à charges quelque soit la cible. Cette gauche fourbe qui ne sait combattre que par en dessous pour pouvoir continuer à régner est bien obligée de tricher. Complément d’enquête à force de vouloir trop en faire s’est fait prendre à son jeu, que ce soit pour le Puy du Fou, Hanouna ou pour Bardela, ne trouvant rien, d’après ce que j’ai pu en voir, ils déforment ou inventent des témoins qui finissent par se rétracter, quelle honte!
La gauche actuelle, dans sa plénitude et son absurdité, obligée de s’allier à l’extrème gauche pour continuer à exister!! He oui, quand on a tout raté, il faut bien trouver quelque chose, on s’accroche, on s’accroche!