Dans le cœur de la tourmente médiatique, un nom trône en lettres capitales : Gérard Depardieu. Accompagné d’accusations lourdes et douloureuses, l’image de l’acteur français reste sujet à controverse et à débat. C’est dans cette ambiance électrique que Carole Bouquet, étoile du cinéma et ex-compagne de Depardieu a pris la parole chez Quotidien pour défendre vigoureusement celui avec qui elle a partagé dix ans de sa vie.
Carole Bouquet s’exprime sur Quotidien
Sur la scène de « Quotidien », Carole Bouquet fait plus que défendre Gérard Depardieu ; elle affirme avec force son innocence. « Je connais les démons de Gérard. Il est incapable de faire violence à une femme. Alors laissons la justice décider si oui ou non il a violé une femme », clame-t-elle, insistant sur la nécessité de laisser la justice trancher loin du tumulte médiatique qu’elle accuse de « tuer un homme ».
Sa réaction au propos d’Anouk Grinberg
La riposte de Carole Bouquet ne se limite pas à la défense de son ex-ami. Elle remet aussi en question la crédibilité de certains témoignages, en particulier celui d’Anouk Grinberg. Elle réfute la notion que l’actrice ait pu être témoin de comportements inappropriés, affirmant n’avoir jamais entendu de tels propos : « Jamais Anouk entre nous quatre ne s’est plainte d’aucun propos de Gérard. Jamais. » Quant aux allégations plus graves d’agressions, elle se montre catégorique : si elle ne connaît pas les autres plaignantes à la différence de Grinberg, sa conviction est sans faille : « Je suis certaine que c’est faux. »
Madame CAROLE BOUQUET complètement à votre soutien
dans quelle époque vivons nous
il faut une cible à TOUTES les chaines pour faire plus d’audience et mitrailler les télespectateurs de toutes ses immondes infos à sensations ET EN BOUCLE
FRANCAIS COUPONS COURS A TOUS SES JOURNALISTES QUI SE VAUTRENT DANS SES HISTOIRES SALASSES ET IL DEVRAIT ETRE INTERDIT DE PARLER DE CES AFFAIRES AVANT QUE LA JUSTICE EST TRANCHE
QUE FAIT ON DE LA PRESEMPTION D’INNOCENCE
QUE FAIT LA JUSTICE DANS CE PAYS
SOUS CET FOUTU DROIT A LA LIBERTE D’EXPRESSION NOUS CONDAMNONS DIRECTEMENT
QUAND A VOUS MESDAMES avant de porter vos accusations sur quiconque AFIN de faire du buz dans les médias réfléchissez aux conséquences graves pour tous les protagonistes des faits