18 octobre 2024

Michel Cymes « insupportable » : cette addiction qui gâche la vie de ses proches

Le célèbre médecin et animateur Michel Cymes a récemment fait des révélations surprenantes sur une addiction qui affecte son quotidien et celui de ses proches. Connu pour son franc-parler, il n’a pas hésité à partager les détails de cette passion dévorante qui peut parfois le rendre difficile à vivre.

« Si je ne fais pas de sport pendant une semaine, vous ne pouvez pas me parler »

Michel Cymes, ancien présentateur du « Magazine de la santé », a confié lors d’une interview avec TV Mag que son amour pour le sport est devenu une véritable addiction. « Si je ne fais pas de sport pendant une semaine, vous ne pouvez pas me parler », a-t-il avoué. Cette dépendance au sport, bien qu’elle lui procure du plaisir, peut également entraîner des sautes d’humeur qui compliquent la vie de ses proches. « Je deviens insupportable », a-t-il ajouté, conscient de l’impact de cette passion sur son entourage.

« Je fais tout, je vais à la salle de musculation »

À 67 ans, Michel Cymes ne laisse pas son âge ou ses petits pépins de santé l’empêcher de s’adonner à sa passion. « Je fais tout, je vais à la salle de musculation », a-t-il expliqué. Malgré un genou en vrac et parfois des douleurs à l’épaule, il adapte ses activités physiques pour continuer à s’entraîner. « J’adapte mes activités physiques, en prenant un sport porté quand j’ai mal au genou », a-t-il précisé, montrant sa détermination à ne pas laisser ses douleurs le freiner.

En plus de son programme sportif rigoureux, Michel Cymes veille à maintenir une alimentation équilibrée. Bien qu’il ne suive pas de régime strict, il fait attention à ce qu’il mange. « Je fais attention à ce que je mange, car je suis une catastrophe », a-t-il plaisanté. Avec l’âge, il a appris à alléger ses repas, optant pour « moins de sucres, moins lourd », afin de rester en forme.

Après avoir surmonté un cancer du rein, Michel Cymes est plus que jamais déterminé à préserver sa santé. « Quand on vous annonce un cancer, la peur de la mort et le traumatisme psychologique de ce moment restent gravés à vie dans votre cerveau », avait-il confié, soulignant l’importance de prendre soin de soi.

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