Un échange électrique a animé les écrans ce jeudi soir : le face-à-face entre la pugnace Anne-Sophie Lapix et le Président de la République, Emmanuel Macron. Le sujet principal de cette joute oratoire était le soutien de la France à l’Ukraine, sujet sur lequel le Chef de l’État a souhaité prendre la parole suite à une décision récente de l’Assemblée nationale.
Questions pressantes et répliques acérées
D’emblée, Anne-Sophie Lapix a mis les pieds dans le plat, questionnant directement le président sur la possibilité d’un envoi de troupes françaises en Ukraine. L’analogie choisie par le président pour répondre était particulièrement étrange : « Bonsoir et bienvenue. Vous êtes assis devant moi. Est-ce que vous êtes debout ? Non. Est-ce que vous excluez de vous lever à la fin de cette interview ? Bien sûr, vous n’allez pas l’exclure ». Et à manifestement déclenché une vague d’incompréhension sur les réseaux sociaux avec des commentaires comme « Ce mec est fou » ou encore « Le fond du creux du vide ». De son coté, Anne-sophie Lapix n’a pas manqué de répondre à cette étrange analogie avec une grande répartie « On n’est même sûrs de le faire », une réponse qui allait visiblement dans le sens de la pensée du Président français qui à poursuivis : « voilà, alors que nous, on est pas sûrs de le faire (…) Je fais cette comparaison pour expliquer ce qu’est ne pas exclure ces options, et il y a des raisons de ne pas le faire, et la position qui consiste à dire simplement ce qu’on fait « .
L’art de l’esquive présidentielle
Cet échange tendu, ponctué par la métaphore inattendue du président, a illustré les tensions inhérentes aux questions de politique étrangère actuelles. Malgré cette passe d’armes verbale, l’interview a par la suite repris son cours sur des thématiques plus larges concernant les enjeux et les impacts de la politique de soutien à l’Ukraine pour la France.
Le duel cédera rapidement place à une discussion plus structurée. Ce moment d’antenne restera toutefois dans les esprits comme un exemple du délicat équilibre entre la pression journalistique et la stratégie communicative d’un président.
crédit photo : capture d’écran TF1
Du cirque , du cirque , du cirque , on en rirait si les tensions entre la russie et la france n’était pas aussi sérieuse. Quel bouffon, quel mépris , sur un ton hautain le petit caporal se prend pour Monsieur Churchille ????
Tout ça avec la complaisance des journalistes vedette , bouleau et lapix, , encore une émission pour rien.
Commencez par ne pas écorcher le nom de Churchill et puis vos propos sont du niveau du populisme qui ne comprend rien à rien et surtout pas les métaphores du Président et qui est tout sauf fou. Les fous ce sont les gens comme vous qui imaginez que la solution est du côté du RN ou des melenchonistes des gens prêts à nous vendre à la Russie sous prétexte d’une paix fantasmée ! Ces gens n’ont pas encore compris qu’ils étaient en présence d’un dictateur qui supprime les problèmes en exécutant ses opposants ! Visiblement vous n’avez rien compris vous aussi et vous vous laissez séduire par des discours simplistes et d’un manque de réalisme désolant ! Pauvre France peuplés de gens oisifs et individualistes dans le déni de la gravité du problème et insensible au fait que des jeunes gens meurent tous les jours en Ukraine pour leur pays et pour nous. Il est désolant de voir aussi le niveau du journalisme qui est aussi à la hauteur d’une société superficielle où les vrais problèmes sont niés au profit du sensationnel.
Vous vous contentez de pas grand chose pour mettre un titre faussement racoleur. C’est assez inquiétant ce nivellement par le bas des médias. On passe des journées entières à commenter une photo de Kate ou la présence d’Aya Nakamura aux JO et bien d’autres leurres abrutissant le lecteur, l’auditeur ou le téléspectateur. Ou à interpréter des propos clairs pour peu que l’on sache parler français.