Dans le tourbillon incessant des actualités, certains moments captent l’attention publique avec une force particulière. Ce fut notamment le cas lorsqu’une question pointue posée par la journaliste Laurence Ferrari semblait provoquer une réaction houleuse du Président Emmanuel Macron. Un échange qui a depuis fait grand bruit sur les réseaux sociaux et parmi les observateurs du monde politique.
Une question qui suscite la polémique
La conférence de presse donnée par le chef de l’état n’était pas une occasion ordinaire; avec une audience de plus de 400 journalistes, les enjeux étaient de taille. Parmi les voix qui se sont élevées pour interroger le président, celle de Laurence Ferrari a retenti avec une insistance particulière et des remous ont suivi. Sa longue interpellation d’une durée estimée à quatre minutes dépeignait un tableau sombre des défis actuels de l’Éducation nationale avant de demander des mesures concrètes pour rétablir l’autorité dans les structures éducatives « À nos yeux ce qui est important, c’est sans doute l’Éducation nationale qui concentre tous les enjeux, toutes les fractures de notre société », « Vous nous avez gratifiés d’un certain nombre de mesures, mais ce qui est important c’est la vision que vous avez pour notre pays pour la fin de votre mandat (…) Vous voulez restaurer l’autorité, la France doit rester la France bien sûr. Comment faire de ces jeunes des citoyens éclairés ? Donnez-mois 5 mesures concrètes pour restaurer cette autorité ? »,
La répartie du président, teintée d’ironie et de déflection, a semblé éluder la substance de la question posée. « Je crois que vous venez même de poser une question et de donner votre propre vision », a-t-il riposté, générant rires et clameurs parmi l’assemblée.
La presse et le pouvoir: une dynamique sous tension
L’incident a révélé une facette de la relation parfois tendue entre les médias et l’exécutif. Un commentaire de Laurence Ferrari à Pascal Praud d’Europe 1, au lendemain de l’affrontement verbal, illustrait cette dynamique délicate. « C’est notre rôle de journaliste. On n’est pas là pour être serviles, » déclarait-elle, avant de pointer l’importance du droit des journalistes à challenger les figures au pouvoir sans crainte ni favoritisme.
Le questionnement sur la liberté de la presse et l’équilibre des pouvoirs se pose inévitablement dans ce contexte: jusqu’où l’exécutif peut-il prétendre affronter sans broncher la contradiction médiatique? Un débat qui n’est certainement pas prêt de s’éteindre.
Le regard du public et des pairs
Au-delà des murs de l’Élysée, le public prend la mesure des implications d’un tel échange au vu et su de tous. L’écho des réseaux sociaux en témoigne, n’hésitant pas à décortiquer chaque micro-expression et sous-entendu. Les réactions du président, interprétées de diverses manières, alimentent les colonnes des journaux et les discussions sur les forums en ligne.
Tandis que certains défendent le président pour sa gestion de la communication en direct, d’autres saluent le courage de la journaliste et critiquent ce qu’ils perçoivent comme une esquive adroite plus qu’une réponse directe. La position de la journaliste quant à ses droits et devoirs professionnels ressort clairement: s’affirmer sans agressivité mais avec assurance et persistance.
crédit photo : capture d’écran TMC
Le souci c’est que cet avis (ce n’était pas une question) venant d’une journaliste de chez Bolloré perd de sa pertinence. Quand on voit et entend le triturage de l’information fait par les chaînes, radios et journaux du groupe c’est risible de jouer à la grande journaliste d’opposition.
100% en phase avec cette judicieuse réflexion ! Jouer les journalistes mousquetaire immaculée lorsqu’on est drivée par Mr BOLORE prête à sourire ironiquement…
On peut dire que son intervention était vraiment nulle et RISIBLE visiblement il n’y avait aucun questionnement la dedans sinon rechercher le SENSATIONNEL et ce n’est pas ça être journaliste OU ALORS elle aura dû être embauchée à France dimanche.
LE PRÉSIDENT à bien fait de l’envoyer balader car quand on a un tel niveau en face de soi et qui se réclame journaliste d’opposition, on ne peut que l’envoyer bouler. Bravo Mr le président votre intervention a été excellente, on retrouve enfin un président qui part au combat ! le front national, partie de la colère facile ça c’est sûr ! Bien vu.
Pas du tout d’accord. Moi, je dis BRAVO LAURENCE, au moins vous avez eu le courage parmi cette foule de journalistes hypocrites de dire ce que vous et la majorité des français pensent des décisions de ce Président et de son Gouvernement de « bras cassés ». La France coule de tous côtés et des gens comme vous ne faites rien pour que çà s’arrange. Macron n’en a rien à foutre, il ne pense qu’à son futur poste à la tête de l’Europe. Il mérite d’en prendre plein la figure et c’est encore trop doux. Depuis 2017, il nous ballade et nous vivons de plus en plus mal financièrement, physiquement, dans l’angoisse permanente de tout. Il en faudrait beaucoup d’autres, des Laurence, les journalistes masculins tournent autour du pot et s’emmêlent dans leurs phrases pour ne rien dire. BRAVO LAURENCE !
De toutes façons quand une question le gène il l’élude et ne répond pas, Ce Mossieur ne supporte pas la contadiction! Et quoi qu’il en soit il dit blanc et il fait noir, on ne peut pas avoir confiance. C’est bien connu qu’un menteur n’est jamais cru même quand il dit la vérité! Alors il blablate et ne nous a rien appris de nouveau, il n’a fait que dresser un constat et en même temps, comme il dit, il ne fera rien ou presque rien. C’est comme la question sur les émeutes, il a une drôle d’analyse! Là ou il s’et énnervé c’est quand on lui a parlé du RN, on a vu sa méchanceté,sa peur,et son mépris pour les 30 pour100 de français qui votent RN, mais surtout la crainte que le RN le remplace et détruise tout ce quil à fait (fait de mal ou raté, car il n’a rien fait de bien). Le pire c’est qu’il reprend petit à petit les idées du RN! Ca lui fait mal d’admettre que le RN avait raison sur certains points et son seul argument, c’est l’extrème droite. Espèrons que les français auront compris à qui ils avaient à faire!
Vous avez raison restez soumis aux médias gauchistes aux mains des grands de la finance et bien sûr de la presse gouvernementale là aussi soumise indirectement aux mêmes financiers
C’est sûr qu’avec des gens comme vous Von Del layen va pourvoir imposer tranquillement la SEULE et BONNE
les médias gauchistes …….. rien qu’en disant ca , vous vous décrédibilisez ……. arrêtez de vomir la novlangue des merdias et réfléchissez par vous même , merci
Allez regarder complément d enquête sur France 2 et ouvrez un peu les yeux sur qui est Bardella et si vous votez pour cette bande de charlatans c’est que vous êtes un grand naïf mais vous faites sûrement partie de ceux qui ont la colère facile et votez RN au vue de votre judicieux propos ! Le jour ou la France vote RN nous sommes tous morts vu leurs valeurs de M… tant pour la nature que l’ être humain..
Par contre Laurence Ferrari chapeau! Les autres journalistes devaient avoir peur de perdre leur place et leurs questions allaient toujours dans le sens du poil; comme lui, pas de vagues! La presse française ,hélas, pas top, à la botte! le JT de TF1 ou autres chaines publiques, ce sont les sites à visiter ou autres divertissements mais rarement un mot sur ce qui se passe réellement en France. Avez vous entendu parler à la télé de la mort d’un homme de 92 ans attaqué chez lui par 3 individus, vers Toulouse je crois, dont on ne donne surtout pas les noms? He oui, on ne nous dit pas tout!
Merci Madame pour votre courage et votre professionnalisme!
Bravo Laurence ferrari pour votre question pertinente. Assez de tous ces hommes politiques , de quel bord soient -ils,qui jouent aux ANGUILLES et qui ne répondent jamais aux questions cruciales et très importantes qui leur sont posées en ironisant et détournant le sujet qui le pose PROBLÈMES
Vous n’avez rien compris aux hommes politiques et encore moins aux journalistes essayez surtout de penser par vous même au lieu de saluer une journaliste qui cherche à se démarquer de la façon la plus nulle qui soit
Tardibet et Sanchiz. Excusez moi mais ma réponse était pour Salies et EFI, heureusement vous rattrapez le niveau intelligemment !
c’est pas du journalisme qu’elle fait , c’est de la merde à sensations …… quand on est payé par Bolloré , on vient pas ramener sa fraise .
et quand on est intelligent et qu’on connait les rouages de la politique , on n’attaque pas de front …….
tout ce qu’elle a réussi à faire , c’est qu’il se moque d’elle ,et qu’il élude la question …. bravo , pour du journalisme , c’est bien ficelé …….