Des nouvelles révélations récentes apportent un nouvel éclairage juste avant la mort de Johnny Hallyday, notamment sur la relation complexe entre le chanteur et ses enfants aînés. Invitée sur le plateau de « C à vous », la journaliste Anne-Sophie Jahn a partagé des détails intimes et bouleversants sur la fin de vie de Johnny, ainsi que sur les choix difficiles qu’il a dû faire.
Un père partagé avec la France
Anne-Sophie Jahn a touché le cœur de nombreux téléspectateurs en évoquant la douleur des enfants de Johnny, David Hallyday et Laura Smet, qui ont dû partager leur père non seulement avec leur famille mais avec toute la France. « Ils n’ont jamais réussi avoir ce père juste pour eux. Jusqu’à l’enterrement de ce père qu’ils doivent partager avec toute la France », a-t-elle confié, soulignant une réalité souvent oubliée par le grand public.
Laeticia Hallyday, une épouse entre amour et responsabilité
Laeticia Hallyday, souvent au centre des controverses, a été décrite comme une femme effondrée, qui a dû prendre des décisions déchirantes. Elle a fait appel aux médecins pour communiquer avec David et Laura, car elle ne se sentait plus capable de tout porter seule. « J’ai demandé à nos médecins, David Khayat et Alain Toledano, de leur téléphoner, même s’ils n’avaient jamais été en contact avec eux. Je ne pouvais plus tout porter. Un docteur sait trouver les mots… Moi j’étais effondrée », a-t-elle partagé.
Johnny Hallyday, un combat jusqu’au bout
Malgré la douleur et les effets secondaires de sa maladie, Johnny Hallyday a fait preuve d’une résilience hors du commun. « Johnny Hallyday avait tous les effets secondaires de sa maladie, il souffrait énormément, ne se plaignait jamais et il est carrément parti en tournée en province avec les Vieilles Canailles », a raconté Anne-Sophie Jahn. Cette force de caractère a marqué les esprits et a montré à quel point le chanteur était déterminé à vivre pleinement chaque instant.
Un refus lourd de conséquences
Laeticia Hallyday a révélé que Johnny avait refusé de voir ses enfants aînés dans ses derniers jours. « Ils ont insisté pour aller dans la chambre, mais mon homme n’a pas compris. Ce n’était pas qu’il ne les aimait pas. Mais devoir leur faire face, dans cette situation, alors qu’ils ne se voyaient pas beaucoup, ça le renvoyait à sa mort. Cette mort qu’il fuyait et combattait depuis quinze mois. Il a refusé de les recevoir. Sans avoir le courage de leur dire », a-t-elle expliqué. Un choix difficile qui a laissé des traces dans la famille et qui souligne la complexité des relations humaines face à l’inéluctable.