Ce dimanche 28 avril 2024, Yvan Attal, acteur et réalisateur de renom étais l’invité de Radio J pour une interview qui a rapidement pris une tournure inattendue.
Un sentiment d’injustice palpable
Invité par Frédéric Haziza, Yvan Attal a ouvert son cœur sur la situation des juifs en France et sur le conflit israélo-palestinien, un sujet qui lui tient visiblement à cœur. « Est-ce que vous connaissez un juif qui va bien en ce moment ? C’est pesant d’être juif, » a-t-il confié, exprimant un sentiment de lourdeur et d’injustice ressenti par la communauté juive. Le réalisateur a mis en lumière une réalité troublante, où se sentir en sécurité et serein semble être un luxe inaccessible.
« On veut me couper la tête »
La conversation a rapidement évolué vers un discours passionné et chargé d’émotion. « Je ne sais plus pour qui je dois voter. Je ne peux plus regarder le football parce qu’ils sont tous anti-israéliens, anti sionistes, le PSG est financé par le Qatar. Donc je ne peux plus être moi-même, » a-t-il déclaré, soulignant l’isolement qu’il ressent en tant que juif. Cette déclaration forte révèle un sentiment d’aliénation et de désillusion face à la situation politique et sociale actuelle car d’après lui, il est aujourd’hui « pesant d’être juif » : « Je ne peux plus partager des choses avec d’autres Français parce que je sais qu’à des endroits on veut me couper la tête. »
Un conflit qui dépasse les frontières
Abordant le conflit israélo-palestinien, Yvan Attal n’a pas mâché ses mots : « Tous ces civils palestiniens, c’est un drame, mais comment mener autrement cette guerre ? (…) Je n’ai jamais pensé que le conflit israélo-palestinien était autre chose que de l’antisémitisme. Les problèmes d’Israël ou les problèmes des Juifs de France, c’est la même chose : c’est la haine des Juifs (…) Depuis le 7 octobre, c’est une orgie d’antisémitisme dans les facs et de tous les côtés. » Il a insisté sur la complexité de la guerre et sur le rôle que le monde entier devrait jouer dans sa résolution, plutôt que de laisser Israël seul face à ses responsabilités.
Cet appel à la prise de conscience et à l’action résonne comme un cri d’alarme face à une situation qui, selon lui, ne peut plus durer.
crédit photo : capture d’écran Radio J
Ben vous savez, lorsque la rue et les supermarchés, sont pleins de ces suppositoires géants qui font maintenant office de femmes sandwichs, mais qui, au contraire des hommes sandwichs d’autrefois vantant la brillantine Cadoricin, Monsavon au lait, ou le cirage Lion Noir, font la publicité de Mohammed Merah, des tueurs du Bataclan, du camionneur de Nice, de ceux qui décapitent, égorgent, violent, ou assassinent les gosses, difficile d’imaginer autre chose. Nos vaillants politiques l’ont voulu, maintenant ils l’ont et s’étonnent.