19 juillet 2025

Découvrez les salaires stupéfiants de Coudray, Bouleau et Delahousse !

Dans le monde feutré des journaux télévisés, les visages sont familiers, mais les salaires restent souvent un mystère. Aujourd’hui, les chiffres tombent et révèlent des écarts saisissants entre les présentateurs vedettes de TF1 et France 2. Anne-Claire Coudray, Gilles Bouleau et Laurent Delahousse, trois figures incontournables de l’info, voient leurs rémunérations mises en lumière.

« Je touche un salaire équivalent à celui d’un joueur de football de Ligue 2, soit en moyenne entre 10 000 à 15 000 euros »

Anne-Claire Coudray, la star du week-end sur TF1, toucherait entre 30 000 et 50 000 euros par mois. Un montant qui la place parmi les présentatrices les mieux payées du paysage audiovisuel français. En comparaison, son collègue Gilles Bouleau, qui officie en semaine, perçoit environ 15 000 euros mensuels. « Je touche un salaire équivalent à celui d’un joueur de football de Ligue 2, soit en moyenne entre 10 000 à 15 000 euros », a-t-il confié.

Leur présence à l’écran n’a définitivement pas de prix

Du côté de France 2, Laurent Delahousse, visage emblématique du service public, affiche un revenu plus modeste d’environ 15 000 euros par mois. Bien que cette somme soit respectable, elle reste en deçà des rémunérations offertes par TF1. Le service public, encadré par l’État, impose des limites salariales pour maintenir une gestion financière responsable.

Delahousse, malgré un salaire plus modéré, jouit d’une notoriété solide et d’un patrimoine estimé à plusieurs millions. Il incarne un équilibre entre engagement public et reconnaissance personnelle, sans pour autant rivaliser avec les records du privé.

La révélation de ces salaires jette un éclairage intéressant sur l’univers très discret de l’information télévisée. Si TF1 récompense généreusement ses têtes d’affiche, notamment Anne-Claire Coudray, France 2 mise sur une ligne plus sobre, en cohérence avec son statut de service public. Qu’on les regarde par admiration ou par habitude, une chose est sûre : leur présence à l’écran n’a définitivement pas de prix.

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