Vincent Lagaf’, l’animateur emblématique du « Bigdil », a récemment fait une révélation surprenante en venant en aide à une fan de l’émission. Alors qu’il est connu pour son humour et sa bonne humeur, il a partagé une expérience personnelle douloureuse pour soutenir une candidate victime de cyber-harcèlement.
La cible de nombreux commentaires négatifs
Le retour du « Bigdil » sur RMC Story en janvier 2025 a été un véritable succès, ravivant la nostalgie des fans de la première heure. Parmi eux, Émilie, une candidate de 34 ans, a eu la chance de participer à l’émission. Son enthousiasme et sa joie de vivre ont conquis le public, au point qu’elle a été invitée à revenir pour une seconde participation. Cependant, cette exposition médiatique n’a pas été sans conséquences. Émilie a confié à Télé Loisirs qu’elle avait été la cible de nombreux commentaires négatifs sur les réseaux sociaux, la poussant à s’en éloigner. « Je lui ai envoyé un message le jour où je n’étais vraiment pas bien face à tous ces commentaires », a-t-elle expliqué.
« Il faut que tu vives pour toi, la télé c’est bien, mais il ne faut pas oublier la vraie vie »
Touché par la détresse d’Émilie, Vincent Lagaf’ n’a pas hésité à lui apporter son soutien. L’animateur, fort de ses 40 ans de carrière, a pris le temps de la contacter en visio sur Instagram pour lui prodiguer des conseils avisés. « On s’est appelés à deux reprises. Sa compagne m’a dit de ne pas faire attention aux commentaires et lui m’a raconté avoir reçu des menaces de mort par le passé », a révélé Émilie. Lagaf’, qui a récemment choisi de vivre loin des projecteurs, a insisté sur l’importance de vivre pour soi-même et de ne pas se laisser affecter par les critiques. « Il faut que tu vives pour toi, la télé c’est bien, mais il ne faut pas oublier la vraie vie », lui a-t-il conseillé.
Émilie, reconnaissante de ce soutien, a décidé de prendre du recul et de se concentrer sur l’essentiel : sa famille et ses amis. Elle a également choisi de répondre aux critiques avec humour, tout en soulignant qu’elle reçoit « davantage de positif que de négatif ». Une belle leçon de résilience et de solidarité dans le monde impitoyable de la télévision.
