Le monde de la célébrité est en ébullition après les révélations surprenantes de Tiphaine Auzière, la fille de Brigitte Macron, sur le plateau de Touche pas à mon poste (TPMP). Invitée par Cyril Hanouna, l’avocate a abordé un sujet brûlant : la contractualisation du consentement, une pratique qui semble se répandre dans le milieu sportif, notamment chez les footballeurs.
« Dans la vie quotidienne, les pratiques évoluent vers ce qui peut être discutable, à savoir la contractualisation du consentement »
Ce mercredi 2 octobre 2024, Tiphaine Auzière a pris la parole sur le plateau de TPMP pour discuter du procès de Mazan, une affaire qui a choqué l’opinion publique par sa cruauté. Mais au-delà de cette tragédie, c’est un autre sujet qui a capté l’attention : la formalisation du consentement dans les relations personnelles. « Dans la vie quotidienne, les pratiques évoluent vers ce qui peut être discutable, à savoir la contractualisation du consentement », a-t-elle déclaré, soulignant l’importance de protéger les individus par des moyens légaux.
Ces révélations ont suscité de vives réactions sur les réseaux sociaux
Tiphaine Auzière a révélé que cette pratique est particulièrement courante chez les footballeurs. « On l’a beaucoup vu chez les footballeurs, qui rédigent maintenant des contrats pour recueillir en amont le consentement des jeunes femmes avec qui ils vont avoir des rapports sexuels, ainsi que pour assurer la confidentialité », a-t-elle expliqué. Cette démarche vise à éviter les malentendus et à garantir que le consentement est donné de manière claire et explicite.
Elle a également mentionné l’émergence d’applications dédiées à cette contractualisation, permettant aux utilisateurs de cocher des cases pour confirmer leur consentement avant tout acte. « On constate également un certain nombre d’applications qui se sont développées, sur lesquelles vous pouvez cocher au démarrage parce que le consentement doit être concomitant à l’acte », a-t-elle ajouté.
Ces révélations ont suscité de vives réactions sur les réseaux sociaux, certains saluant l’initiative comme une avancée nécessaire, tandis que d’autres s’interrogent sur les implications éthiques de telles pratiques. Quoi qu’il en soit, le débat est lancé, et il est certain que cette question continuera de faire couler beaucoup d’encre dans les semaines à venir.