31 janvier 2025

Stéphane Bern en larmes : la vérité choquante sur l’homme qui a brisé son cœur

Ce vendredi 17 janvier 2025, l’émission « La Boîte à secrets » sur France 3 a offert un moment d’émotion intense à ses téléspectateurs. Faustine Bollaert, la maîtresse de cérémonie, a accueilli des invités de marque, dont Stéphane Bern, qui a laissé tomber le masque de l’animateur toujours souriant pour dévoiler une facette plus vulnérable de sa personnalité.

« C’est l’un des livres qui compte le plus pour moi »

Dès le début de l’émission, Stéphane Bern a confié ne pas être friand des surprises, déclarant : « Je ne suis pas sûr d’aimer vraiment les surprises, c’est le saut dans l’inconnu ». Pourtant, c’est bien une surprise qui l’attendait dans sa boîte : le Manuel d’histoire nationale du Luxembourg d’Arthur Herchen. « C’est l’un des livres qui compte le plus pour moi, (…) autrefois je pouvais en citer des pages entières », a-t-il révélé, visiblement ému.

Mais c’est en découvrant l’interprétation du titre « Imagine » de John Lennon par la mezzo-soprano Axelle Saint-Cirel que Stéphane Bern a véritablement craqué. Les larmes aux yeux, il a partagé avec Faustine Bollaert : « Je vous dois un aveu quand même. Il y a cette chanson, il y a cette chanteuse, et vous me mettez sous les yeux les images de mon père qui est parti il y a deux ans, de mon frère qui est parti l’année dernière… Je me sens un peu un survivant. J’admirais tellement mon frère et il m’a lâché. C’est le plus dur, pardon pardon ».

« Moi je vis avec mon Panthéon »

L’émotion était palpable sur le plateau lorsque Stéphane Bern a évoqué son frère, qu’il admirait profondément. En commentant des photos diffusées en arrière-plan, il a décrit avec tendresse : « Sur cette photo, il est tellement beau. C’est le brun, parce que moi j’étais le blond, bien évidemment avec les lunettes, j’étais tout moins bien que lui. Il avait la gentillesse de me faire croire que ce n’était pas grave, qu’il me laissait la lumière et restait dans l’ombre ».

Stéphane Bern a conclu en partageant sa philosophie de vie, marquée par la présence constante de ses proches disparus : « Moi je vis avec mon Panthéon. Je vis tous les jours avec mes parents qui sont partis, avec mes grands-parents, mon frère. À tous ceux qui sont partis, ils sont en moi ». Un témoignage poignant qui a touché le public et les invités présents, rappelant que derrière le personnage public se cache un homme profondément humain.

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