La 39e cérémonie des Victoires de la Musique a su créer l’événement, avec une alchimie particulière entre deux personnalités du PAF, Léa Salamé et Cyril Féraud, qui n’ont pas laissé le public indifférent. Une prestation animée qui a donné lieu à un final touchant, ou les deux animateurs n’ont pas hésité à s’enlacer et s’embrasser en face du publique.
Un duo complice sous les projecteurs
France 2 diffusait vendredi soir la tant attendue 39e édition des Victoires de la Musique, avec à la présentation un binôme inédit mais ô combien charismatique : Léa Salamé et Cyril Féraud. Au-delà des performances musicales, c’est leur symbiose qui a capté l’attention. En effet, au fil de la soirée, leur complicité s’est affirmée sous les yeux des téléspectateurs, débouchant sur une séquence qui restera gravée : un échange plein d’admiration et un baiser empreint d’affectivité en clôture de la cérémonie, illustrant parfaitement la joyeuse énergie qui a régné tout au long de l’événement. Cyril Féraud à évidement tenu à remercier Léa Salamé pour cette collaboration « Merci Léa, c’était un kiffe absolu de faire cette soirée avec toi ! »
Le palmarès, reflet d’une diversité musicale célébrée
Les récompenses ont pleuvé lors de cette célébration de la musique française. Parmi les lauréats, c’est Zaho de Sagazan, fleuron nouveau de la variété française, qui s’est vue décorée de quatre trophées prestigieux, dont ceux de « Révélation féminine » et d' »Album de l’année ». Non loin derrière, dans le palmarès, Aya Nakamura a conquis le titre « d’artiste féminine » de l’année, tandis que le rappeur Yamê gagnait celui de « révélation masculine ». Malgré ces hauts faits, on note cette année un léger essoufflement en termes d’audience.
L’audience en demie-teinte
Le public s’était-il donné rendez-vous ailleurs cette année ? Avec une légère baisse d’audience comparée à l’exercice antérieur, les chiffres reflètent peut-être une moindre adhésion, notamment auprès des spectateurs les plus prisés par les annonceurs. Malgré tout, l’événement a conservé son statut de vitrine incontournable pour la musique en France, même si la forte concurrence télévisuelle et la multiplication des offres numériques modifient les cartes des audiences traditionnelles.
crédit photo : capture d’écran France 2
Cette chronique ne sera très certainement pas retenue pour concourir aux « Victoires de l’Orthographe ». Une approximation voire une désinvolture à cette hauteur m’interpellent sur le niveau du rédacteur.
Oui les fautes ont « pleuvé » et pas en « demie-portion » !
Le rédacteur va manquer de mots pour mettre les fautes.