Ces SMS accablants échangés entre Kylian Mbappé et la plaignante

Kylian Mbappé, l’étoile montante du football français, se retrouve au cœur d’une tempête médiatique sans précédent. Alors qu’il espérait que son transfert au Real Madrid marquerait le début d’une nouvelle ère, une affaire extra-sportive vient assombrir son horizon. Accusé de viol par une jeune femme à Stockholm, le joueur est désormais sous le feu des projecteurs pour des raisons bien éloignées du terrain.

« Je ne ferai aucun commentaire »

Depuis que l’affaire a éclaté, chaque jour apporte son lot de révélations. Ce qui devait être une escapade discrète en Suède s’est transformé en un cauchemar médiatique pour le capitaine de l’Équipe de France. La justice suédoise, fidèle à sa réputation de rigueur, poursuit son enquête sans faire de déclarations publiques. Petra Eklund, l’avocate de la plaignante, a été claire : « Je ne ferai aucun commentaire. Je comprends pourquoi vous êtes ici. Mais je ne ferai aucun commentaire, sur aucun nom ni quelque information que ce soit. Elle est entre les mains de la police. L’enquête suit son cours. C’est strictement confidentiel. C’est tout ce que je peux vous dire ».

« Lorsqu’il va à Stockholm, il y a un paparazzi et un journal qui sort l’information avec sa photo »

Face à ces accusations, Kylian Mbappé et son entourage ont décidé de ne pas rester silencieux. Selon un article du Parisien, des SMS échangés entre le joueur et la victime présumée ont été révélés, dans une tentative apparente de discréditer les accusations portées contre lui. Sur son compte X, Mbappé a exprimé son indignation face à ce qu’il considère comme un complot : « FAKE NEWS !!!! ❌❌❌ Ça en devient tellement prévisible, veille d’audience comme par hasard 😉 ».

Son avocate a également pris la parole pour défendre son client, soulignant le timing suspect de la médiatisation de l’affaire : « Lorsqu’il va à Stockholm, il y a un paparazzi et un journal qui sort l’information avec sa photo. Donc il a été pisté. Quelqu’un savait qu’il allait à Stockholm. Et comme par hasard, c’est factuel, ce même journal sort une information au terme de laquelle il y aura une plainte qui aurait été déposée. […] Si on suit le timing, la plainte, si j’en crois les médias et le communiqué de la procureure, aurait été déposée quasiment en temps réel de sa médiatisation. […] Déposer une plainte, c’est une chose. La médiatiser en temps réel, c’en est une autre ».