La nouvelle Miss France 2025, Angélique Angarni-Filopon, se retrouve au centre d’une vive polémique après son refus de se déclarer « Charlie » lors d’une interview. Cette prise de position a suscité une vague d’indignation, notamment de la part de l’influenceur Bastos, qui n’a pas hésité à exprimer sa colère sur les réseaux sociaux.
« Je ne me prononce pas, je ne peux pas me prononcer »
Le 8 janvier dernier, lors d’une interview sur Sud Radio, Angélique Angarni-Filopon a choisi de ne pas répondre à la question du journaliste lui demandant si elle se considérait « Charlie », en commémoration des attentats contre Charlie Hebdo. « Je ne me prononce pas, je ne peux pas me prononcer », a-t-elle déclaré, provoquant une onde de choc à travers le pays. Bastos, figure emblématique de la télé-réalité, a vivement réagi à cette déclaration. « Moi, ce n’est pas son titre de Miss France que je lui enlève, c’est la nationalité française que je lui enlève », a-t-il affirmé dans une vidéo postée sur Twitter.
« On n’a pas le droit de forcer les autres à respecter les termes de sa religion. Fin de l’histoire »
Dans sa vidéo, Bastos n’a pas mâché ses mots. Il a rappelé que la France est un pays laïc où chacun doit pouvoir exprimer ses opinions sans contrainte religieuse. « On n’a pas le droit de forcer les autres à respecter les termes de sa religion. Fin de l’histoire », a-t-il martelé. Pour lui, le silence de la Miss France sur un sujet aussi sensible est inacceptable. « Toute personne qui refuse de condamner ça… Moi, ce n’est pas son titre de Miss France que je lui enlève. C’est la nationalité française que je lui enlève. Même si tu es né en France », a-t-il ajouté.
De son côté, Angélique Angarni-Filopon a expliqué qu’elle souhaitait garder le silence sur des sujets politiques, estimant que ce n’était pas le rôle d’une Miss France de s’exprimer sur de telles questions. Cependant, cette position n’a pas suffi à apaiser les critiques, et la polémique continue de faire rage.
Alors que les débats s’enflamment, la question reste posée : jusqu’où une personnalité publique doit-elle s’engager dans des débats sociétaux ? Une chose est sûre, cette affaire ne laisse personne indifférent et continue de diviser l’opinion publique.
Elle a raison on est en république, du moins j’espère que c’est toujours le cas : si elle ne veut pas participer à ces « débats » que l’on veut imposer à tout le monde c’est son droit !
Qui c’est cet influenceur qui veut imposer sa dictarure ? assez de tous ces gens qui outrepassent leurs droits en bafouant celui des autres !
Annie Bernabé