Dans le monde scintillant des célébrités, chaque nouvelle information peut marquer les esprits à jamais. Imaginez un instant, être celui qui détient les clés des coulisses, des murmures et des confidences d’icônes telles que Michel Drucker et Philippe Bouvard. Hauts comme trois pommes à côté de leurs légendes, nous sommes suspendus à leurs lèvres, espérant une nouvelle qui apaiserait nos âmes de fervents admirateurs. Alors laissez-moi vous emmener dans les méandres des nouvelles fraîchement cueillies au jardin des stars.
Dans l’intimité des géants
L’image de la télévision française, Michel Drucker, révèle son rituel avec son éminent confrère, le maestro des ondes radiophoniques, Philippe Bouvard. « Je l’appelle quasiment tous les quinze jours », confie-t-il lors d’une apparition sur le plateau de C à Vous. Selon Drucker, « il y a des jours où il n’entend pas bien » et son acuité visuelle aurait « beaucoup changé ». La marche du temps épargne peu et l’homme derrière « Les Grosses Têtes » a fêté ses 94 ans.
Cohabitants du succès
Les deux piliers du paysage audiovisuel français partagent plus qu’une amitié ; ils partagent des racines communes. Drucker rappelle que « Le théâtre de Bouvard avait lieu au Studio Gabriel », lieu où il a aussi enregistré nombre de ses émissions. Cette proximité, physique comme professionnelle, souligne l’immensité de leur apport culturel. « Philippe c’est un personnage hors norme », poursuit Michel Drucker, évoquant la myriade d’artistes révélés par Bouvard, à l’instar des Inconnus, de Jean-Marie Bigard ou encore de Muriel Robin.
La poursuite d’une passion
Quant à leur vision du travail, ces deux monuments ne pensent pas à la retraite. Michel Drucker, échappé des griffes de la Grande Faucheuse en 2020, se voit continuer jusqu’en 2025. Bouvard, quant à lui, considère le travail comme sa « raison de vivre », admettant sentir l’ennui lui peser les weekends, dénués de l’effervescence des jours ouvrables.
Portée par une plume dédiée à l’immortalisation de ces instants fugaces, cette révélation sur la santé de Philippe Bouvard vient rappeler, doucement mais sûrement, que derrière les brillants sourires, les blagues piquantes et les réparties étincelantes de nos idoles se cache l’inexorable réalité : le temps, ce grand sculpteur.
L’un comme l’autre ont largement dépassé l’age de la retraite et devraient arreter de travailler ;
Dans le privé ,le maximum est de 70 ans et passé 55 ou 60 on vous fait comprendre que vous n’etes plus bon à rien !