Ce mardi 26 novembre, le Premier Ministre Michel Barnier a fait une apparition remarquée au journal de 20 Heures de TF1. Face à Gilles Bouleau, il a abordé la motion de censure qui menace son gouvernement, tout en réaffirmant sa détermination à rester en poste. Une interview qui a fait des vagues et qui montre un homme prêt à affronter les défis politiques de front.
« Pourquoi voulez-vous que je démissionne ? C’est parce-que les temps sont durs que j’ai accepté de faire ce travail »
Depuis sa nomination en septembre, Michel Barnier n’a cessé de faire parler de lui. Ce mardi, il a tenu à clarifier sa position face à la motion de censure votée à l’Assemblée Nationale. « Pourquoi voulez-vous que je démissionne ? (…) C’est parce-que les temps sont durs que j’ai accepté de faire ce travail », a-t-il déclaré avec assurance. Pour lui, cette motion de censure n’est rien d’autre que « du temps perdu » dans un moment qu’il qualifie de « très grave ».
Un Premier Ministre prêt à affronter les défis avec courage et détermination
Michel Barnier a également exprimé son désir de continuer à servir le pays, soulignant les nombreuses raisons de s’enthousiasmer pour la France. « Il y a tellement de raisons de s’enthousiasmer pour notre pays, quand on voit les énergies en métropole, les Français d’Outre-Mer, les français à l’étranger », a-t-il affirmé. Il a également évoqué les causes qui l’indignent, telles que les violences faites aux femmes et l’antisémitisme. « Et aussi longtemps que j’aurais la même capacité de m’indigner et de m’enthousiasmer que celle que j’avais il y a 50 ans en arrière, je serais prêt à servir, c’est tout », a-t-il ajouté.
Au cours de l’interview, Michel Barnier a également abordé des sujets cruciaux pour l’avenir du pays. Il a annoncé qu’il actionnera « probablement, assurément » le 49.3 pour adopter le budget 2025. De plus, il a assuré que « les Français les plus modestes et les personnes âgées qui ont des retraites seront protégées » avec l’indexation de la retraite prévue pour le premier janvier 2025.
En dépit des turbulences politiques, Michel Barnier reste ferme et déterminé à poursuivre son mandat jusqu’en 2025, en espérant que l’Assemblée Nationale lui en donnera l’opportunité. Une interview qui montre un Premier Ministre prêt à affronter les défis avec courage et détermination.
Il ne démissionnera pas mais il risque d’être éjecté par censure si il fait un 49.3!
La taxe pollution appliquée aux véhicules d’occasion va relancer les gilets fluos sur les ronds points
Raymond Aron disait : « En politique on ne choisit pas entre bien et le mal, mais entre le préférable et le détestable ». Les français ont choisi entre Macron et Le Pen. Comme quoi c’est bizarre cette culture du paradoxe !!!
On a choisit une président « préférable » à quelqu’un de « détestable ». Pourquoi quelques années après, le préférable est-il devenu le détestable?
Nous sommes aujourd’hui dans l’impasse à cause du choix du « préférable ». J’ajouterai que depuis Hollande « la courbe inversée » on a que des présidents par défaut !!!!