Germain R., plus connu sous le pseudonyme de Rop, a été condamné à deux ans de prison, dont un an avec sursis, pour des actes de cruauté envers son chiot. Retour sur une affaire qui a choqué le public et les téléspectateurs de « Touche pas à mon poste ».
Il a tenté de justifier la bosse sur la tête du chiot en expliquant qu’elle était due à une chute dans les escaliers
L’affaire a débuté lorsque Rop a été accusé d’avoir maltraité son chiot de 4 mois, un american staffordshire terrier, à son domicile d’Argenteuil. Les accusations portaient sur des sévices graves, privation de soins, de nourriture et d’abreuvement. Invité sur le plateau de « Touche pas à mon poste » pour se défendre, Rop a clamé son innocence, affirmant que les policiers n’avaient rien trouvé d’accablant lors de leur perquisition. Il a tenté de justifier la bosse sur la tête du chiot en expliquant qu’elle était due à une chute dans les escaliers. Des explications qui n’ont pas convaincu le public.
« Bien sûr qu’ils sont coupables, bien sûr qu’ils sont mauvais et malsains »
Les réactions des téléspectateurs ne se sont pas fait attendre. Sur les réseaux sociaux, l’indignation était palpable. « Non mais sérieusement, ce n’est pas possible d’écouter ces personnes. Ils doivent être punis. Arrêtez le baratin », s’est exclamé un internaute. Un autre a ajouté : « Bien sûr qu’ils sont coupables, bien sûr qu’ils sont mauvais et malsains, bien sûr qu’ils ont sûrement tué un autre chiot avant, bien sûr qu’ils doivent payer et même subir ce qu’ils ont fait à cette pauvre chienne qui va être traumatisée à cause d’eux, ils me dégoûtent ».
La justice a finalement tranché, condamnant Rop à une peine de prison assortie d’une interdiction définitive de posséder un animal. Cette décision a été accueillie avec soulagement par de nombreux internautes, espérant que cela serve d’exemple pour prévenir de futurs actes de cruauté. « Des tarés et des monstres de la pire espèce, qu’ils pourrissent en prison et en enfer ! », a commenté un utilisateur, reflétant le sentiment général de révolte face à cette affaire.
L’affaire Rop rappelle à quel point la responsabilité des influenceurs est scrutée par le public, et combien leurs actions peuvent avoir des répercussions importantes sur leur carrière et leur image.
