Pour Faustine Bollaert, animatrice bien connue du petit écran, ce choix est avant tout une affaire de cœur et de famille. Elle a récemment partagé les raisons émouvantes qui l’ont poussée à adopter le nom de son grand-père, Bollaert, après sa disparition.
Un événement tragique a bouleversé sa vie
Faustine Bollaert, née Faustine Farraggi, a longtemps porté le nom de son père. Cependant, un événement tragique a bouleversé sa vie et l’a poussée à faire un choix significatif. « Le jour déclic, ça a été la mort de mon grand-père. J’étais très proche de lui, il s’appelait Stéphane Bollaert, il était vraiment le premier homme de ma vie, à part mon père, évidemment », a-t-elle confié lors d’une interview sur France Bleu.
Ce changement de nom n’est pas simplement un hommage, mais un moyen pour Faustine de rester connectée à ses racines et à l’histoire de sa famille. « Il y a un ‘clan Bollaert’ dans notre fief en Bretagne, avec plein de cousins, et j’avais envie d’appartenir à cette tribu-là », a-t-elle expliqué.
« J’ai très envie d’emmener mes enfants au stade Bollaert, dans les coulisses au contact des Sang et Or »
Le nom Bollaert n’est pas inconnu en France, notamment dans l’ouest du pays. Faustine Bollaert est en effet l’arrière-petite-nièce de Félix Bollaert, ancien directeur de la Compagnie des mines de Lens, qui a donné son nom au célèbre stade Bollaert. Un héritage dont l’animatrice est particulièrement fière. Elle a même exprimé son désir de partager cette fierté avec ses enfants : « J’ai très envie d’emmener mes enfants au stade Bollaert, dans les coulisses au contact des Sang et Or. »
Bien que Faustine ait choisi de porter le nom de son grand-père, elle n’a pas pour autant renoncé à son nom de naissance. « Aujourd’hui, j’ai les deux noms sur ma carte d’identité. Et en même temps, avec mon nom de femme mariée, le pseudonyme de mon mari, je pense que j’ai eu moins quatre ou cinq noms que je peux utiliser en fonction des situations », a-t-elle précisé.
Son mari, l’auteur de thrillers Maxime Chattam, de son vrai nom Maxime Drouot, partage également cette multiplicité d’identités, publiant sous différents pseudonymes. Un couple qui, visiblement, sait jongler avec les noms tout en gardant un pied fermement ancré dans leurs histoires familiales respectives.
