
Les amis de Pierre Palmade lâchent peu à peu l’humoriste après son terrible accident du 10 février dernier sous emprise de cocaïne. Dernière en date, Muriel Robin, qui serait même venue au chevet de l’acteur.
« Assassin »
Ce sont nos confrères de Voici qui livrent l’information : l’humoriste Muriel Robin est venue au chevet de Pierre Palmade à l’hôpital et la rencontre se serait mal déroulée entre les deux. Amie de longue date, elle ne se serait pas privée de lui dire ce qu’elle a dans le cœur : « Il s’est violemment disputé avec elle deux jours après l’accident. Très en colère contre lui, Muriel l’a notamment traité d’assassin. Pierre n’a pas supporté, il lui a demandé de quitter sa chambre et ils ne se sont plus revus », a confié un proche au magazine.
À Paris Match, un autre proche a confié : elle « lui en veut terriblement d’avoir brisé la vie d’une famille, d’avoir pris le volant alors qu’il était sous l’emprise de drogues ». Elle est « écœurée, dépitée et malheureuse ». Son amie de toujours, Michel Laroque, a aussi « pris ses distances en supprimant toutes ses publications Instagram qui avaient un lien avec lui ».
Placé en détention provisoire
Pour rappel, Pierre Palmade est accusé d’avoir, sous l’emprise de stupéfiants, causé un grave accident de la route avec une voiture arrivant en face. Un homme de 38 ans et son fils de six ans sont toujours gravement blessés et une femme enceinte de 27 ans a perdu son fœtus de 7 mois.
Ce lundi midi, la cour d’appel de Paris a décidé de placer Pierre Palmade en détention provisoire dans le cadre de sa mise en examen « pour homicide et blessures involontaires » avec mandat de dépôt, malgré un récent AVC.
C’est malheureusement une histoire qui arrive tous les jours. Et personne n’en parle. Les récidivistes consommateurs de coke, d’alcool ou d’autres choses, sont légion, dans les hautes sphères politiques, artistiques ou protégées. Mais comme celui qui a provoqué l’accident fait partie du show business, il fallait faire un exemple. Il se fait déjà lyncher médiatiquement. Sa carrière est finie. Loin de moi l’idée de lui trouver des excuses. Il n’avait qu’à laisser un autre conduire. Mais c’est un homme à terre qui se fait piétiner encore plus. À lui aussi sa vie est irrémédiablement gâchée. Il va vivre avec ce qu’il a fait. Tirer sur l’ambulance ne rendra pas la santé, ni une vie normale, aux pauvres gens qui ont vu la leur basculer ce jour là.