Il est revenu sur sa vie de couple et la médiatisation, après la sortie de son film Acide.
Guillaume Canet : « Ras-le-bol que l’on parle de nous »
Invité de En Aparté ce mardi 26 septembre 2023 sur Canal +, Guillaume Canet, le célèbre acteur est revenu sur sa notoriété publique et ses dérives. Il raconte notamment qu’il a voulu écrire lui-même le scénario, à cause de rumeurs qui circulaient sur son couple : « Un ras-le-bol qu’on parle de notre image, de nous, de notre vie sans rien savoir de notre vie, en fait », souligne-t-il d’emblée.
« C’est vrai que des fois, c’est assez amusant, assez fou, de voir ce que les gens s’imaginent de nous, de la vie complètement folle de stars qu’apparemment, on aurait. J’apprends des trucs sur des maisons qu’apparemment j’achète dans le sud-ouest, enfin bon, des trucs complètement fous ! »
Guillaume Canet : « Il ne faut pas croire tout ce que les gens racontent »
Mais si certaines rumeurs peuvent paraître amusantes de prime abord, d’autres le touchent plus personnellement : « Il y a des moments où, par contre, il y a des choses qui sont dites et qui ne sont pas drôles. Je pense que j’ai eu un certain ras-le-bol et je me suis dit ‘moi aussi je vais m’amuser avec ça, alors. Tant qu’à faire, autant que ça soit moi, que je m’en amuse et que j’aille dans ce que les gens peuvent s’imaginer aussi’. Il ne faut pas croire tout ce que les gens racontent, c’est ça que j’avais envie de raconter dans ce film ».
Et le succès a été là, avec 1,3 million de personnes en salles en France : « Marion a été extraordinaire, elle a accepté de jouer cette autodérision complètement dingue. (…) On s’est vraiment marrés ».
C’est la mode voulue par les réseaux nommés « sociaux » alors qu’il n’ont rien de Social. Ce sont simplement des façons pour les débiles mentaux, les lâches, les racailles au QI de moineaux, de cracher leur haine, leurs frustrations et surtout leur crasse bêtise qui réussissent à mener des enfants au suicide. Et on appelle cela « social ». Quelle honte C’est une guerre muette qui détruit des gens. c’est pire que le choléra.